Le catalogue Netflix change, des programmes disparaissent et d’autres arrivent. Tous les mois, des nouveautés font leur apparition. Il est intéressant de se pencher sur les films et séries à regarder sur la plateforme. En effet, difficile d’arriver à bout du catalogue du géant américain. Bien que les usagers pensent parfois avoir fait le tour, il est intéressant d’aller aussi fouiller dans les catégories un peu moins connues. Cela n’empêche pas d’apprécier les nouvelles sorties qui ont de quoi donner envie. Il y en a pour tous les goûts.
Les films originaux Netflix à voir impérativement
Parmi tous les films qui existent, de nouveaux programmes, plus ou moins récents, sont intéressants à voir. Évidemment, il est préférable d’aimer le genre en question. Cela n’empêche pas d’être curieux quant à ces films originaux Netflix. Le géant américain a encore une fois mis la barre très haut.
Un voyage dans la vie après la mort accompagnée de Victoria Justice dans After Mortel
Le titre de ce film peut faire peur. Qui passe un bon moment lorsqu’il s’agit de parler de la vie après la mort ? Pourtant, c’est un film good mood comme on les aime. Le film suit Cassie, interprétée par Victoria Justice, une fêtarde invétérée qui veut profiter de la vie. Malheureusement, elle meurt dans un accident improbable la semaine de son anniversaire. L’histoire ne s’arrête pas là, puisqu’une fois au purgatoire, la jeune femme à droit à une seconde chance pour ne pas aller en enfer.
Cette histoire classique de rédemption est bien ficelée et donne le goût de profiter de l’instant présent ainsi que de ses proches – tout en évitant de se blesser après une soirée. Le début du film peut sembler niais et peu intéressant. Pourtant, au fil des minutes qui passent, l’attachement pour les personnages vient peu à peu. Il est possible que cette comédie ne plaise pas à tout le monde, mais ça reste une question de goût. Pour profiter de ce film, il suffit d’une box avec Netflix, et le tour est joué pour le visionner sur sa télévision.
After Mortel est disponible depuis le 1er septembre sur la plateforme, et devrait rester un long moment puisque c’est un film original Netflix. Les abonnés de la plateforme semblent déjà fortement l’apprécier puisqu’il apparaît dans les tendances en France, et les avis se font plus souvent positifs que négatifs. D’une durée d’1h49, After Mortel se laisse regarder sans aucune peine. Entre autres que Victoria Justice dans le rôle principal, on retrouve également Midori Francis, Adam Garcia et Robin Val à l’écran.
Fear Street : Une trilogie horrifique qui donne la chair de poule
Le retour de la mode des slashers revient sur le devant de la scène avec la trilogie Fear Street. Bien que le casting puisse donner l’impression des films young adult, c’est bien loin de la vérité. Ces films sont très sanglants, et les amateurs d’horreur vont être servis. Quelques références à des films tels qu’Halloween ou Vendredi 13 sont d’ailleurs présentes. Ce qui change avec ce film, c’est le format un peu particulier. En effet, l’histoire se découpe en trois films, sortis à une semaine d’intervalle durant le mois de juillet. Il faut savoir qu’à l’origine, la diffusion était destinée au cinéma. Il ne serait pas étonnant de retrouver d’autres films du genre dans les catégories secrètes de Netflix.
Les trois films sont reliés par le même fond d’histoire. Tout débute avec le premier opus qui se déroule en 1994. De jeunes adolescents découvrent qu’ils sont les prochaines victimes d’un événement horrifiant qui semble se produire depuis des siècles dans la ville de Shadyside. S’en suit alors une chasse aux informations pour connaître les tenants et aboutissants. Les deux films suivants sont sur le même thème, mais à des époques différentes. Le second opus se déroule en 1978 tandis que le dernier a lieu en 1666. Afin d’avoir le dénouement, il est impératif de visionner la trilogie au complet.
Par contre, les abonnés de Netflix ne doivent pas avoir peur de voir des scènes gores à l’écran. Le casting est varié et change au fil des opus. Dans Fear Street : 1994, des acteurs habitués à jouer dans les productions Netflix apparaissent, tels que Maya Hawke et Sadie Sink, sont toutes les deux présentes au casting de Stranger Things. Pour le moment, Fear Street semble faire l’unanimité, et ceux qui veulent se plonger dans l’histoire complète, il est possible de trouver le livre éponyme, dont est inspirée cette trilogie, écrite par RL Stine.
Les mini-séries en tendance sur Netflix ces dernières semaines
Les mini-séries ont le vent en poupe ces derniers temps sur les plateformes SVOD. Les spectateurs semblent apprécier le fait de voir toute une histoire sans qu’il n’y ait de multiples saisons et à attendre trop longtemps avant le dénouement. L’avantage dans les mini-séries, c’est surtout d’avoir les réponses à toutes ses questions dans les derniers épisodes.
Atteindre les 5 millions de vues sur Clickbait, à vos risques et périls
Rare sont ceux qui n’ont pas vu l’affiche publicitaire de cette nouvelle mini-série. En effet, Netflix a mis les moyens pour en faire parler, avant même sa sortie. Ce thriller va plaire à beaucoup de monde, avec sa dose de suspens et de surprise. Clickbait est composé de 8 épisodes, et n’est pas prévu pour une autre saison. En effet, toutes les réponses attendues sont données au sein de cette saison. Ce programme est à binge-watcher sans modération pendant un week-end.
Clickbait raconte l’histoire d’un homme, Nick Brewer. Il semble bon sous tout rapport : marié, deux enfants, préparateur physique d’une équipe féminine de volley-ball. Qu’est-ce qui pourrait mal tourner ? Eh bien, Nick est porté disparu et une vidéo de lui est disponible sur Internet. Il apparaît à l’écran, et montre trois pancartes différentes, avec les messages suivants : « Je maltraite les femmes », « À 5 millions de vues, je meurs » et « J’ai tué une femme ». La question que tout le monde se pose, c’est évidemment de savoir si tout ça est vrai. La femme de Nick est désemparée, et tout le monde est à la recherche de cet homme afin de le sauver. Le mérite-t-il ?
Certains abonnés peuvent se demander si cette mini-série policière change vraiment de toutes les autres. Elle vaut le coup d’œil, sans aucun doute. Les spectateurs doutent le long des 8 épisodes pour savoir qui a enlevé Nick, mais également est-ce qu’il a fait ce dont il est accusé ? Le suspense est à son comble, il est certain que c’est une série qui vaut le détour. Le casting est, lui aussi, très intéressant : Adrian Grenier dans le rôle principal, Betty Gabriel, vue dans Get Out, joue Sophie, la femme de Nick. Il est important de dire que ce n’est pas l’adaptation d’un livre, mais bien une histoire originale. Si vous regardez cette série avec une box internet, Il se peut que cette dernière ne soit pas compatible avec Netflix. Ce n’est pas un souci, il est possible d’utiliser un Chromecast Android TV pour éviter ce problème.
Alrawabi School for girls : une mini-série jordanienne centrée sur le harcèlement à l’école
Changement d’ambiance, et changement de contrée. La mini-série Alrawabi School for girls se déroule en Jordanie. Il est rare de voir des programmes qui se passent dans les pays arabes. C’est agréable pour les spectateurs de voir de nouveaux décors, une nouvelle ambiance et surtout une culture différente. Cette différence culturelle est d’ailleurs très marquante, dans le bon sens du terme. On en apprend plus sur la façon de vivre et de voir les choses.
Par contre, l’histoire n’est pas toute rose. Le thème est la vengeance, une vengeance due au harcèlement à l’école. La mini-série se regarde rapidement, puisqu’elle est constituée de 6 épisodes seulement. Impossible de savoir s’il y aura une saison 2, ou non. Certains spectateurs vont dire que c’est un peu rapide pour l’action, mais la série reste appréciée par la majorité. En effet, cela touche un sujet sensible. Aux spectateurs de choisir s’ils préfèrent regarder la TV depuis leur ordinateur ou encore dans le salon familial afin de sensibiliser tous les membres du foyer.
Alrawabi School for girls montre la réalité de ce qui se passe dans la société jordanienne. Évidemment, cela reste une œuvre de fiction et non-inspirée de faits réels. Pourtant, les éléments peuvent facilement se retrouver là-bas. Le thème est bien pour sensibiliser sur le sujet tout autour du monde. En effet, le harcèlement à l’école touche tout le monde, que ce soit des écoles privilégiées ou non. Bien entendu, le gouvernement jordanien ne l’entend pas de cette oreille, insistant sur le fait que cela ne correspond en rien à leur société actuelle.
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