Le 12 mars est la journée nationale de la censure. Souvent nommée comme journée internationale pour la liberté d’expression sur Internet, son objectif est de lutter pour un Internet libre. Toutefois, certains pays n’appliquent pas ces règles, à l’instar de la Chine. L’Empire Céleste est réputé pour ses restrictions, et le pays a une fois de plus fait mouche. La preuve, les restrictions ont récemment été renforcées.
Renforcement de la censure : les VPN temporairement bloqués en Chine
En temps normal, la Chine surveille avec attention les médias et autres sites internet. Depuis peu, le pays a renforcé ses restrictions. Ce n’est pas dû au hasard, puisque la session parlementaire a actuellement lieu en Chine.
Contourner la censure en Chine est souvent dans les cordes des journalistes chinois. En effet, les médias se doivent d’utiliser un VPN pour publier sur les réseaux sociaux et autres plateformes. C’est d’autant plus vrai en ce moment, où les sites comme YouTube, Google, Facebook, X ou encore Instagram sont bloqués dans le pays.
Toutefois, le gouvernement chinois compte bien renforcer ses lois pour éviter les contournements. Ainsi, de nombreux outils tels que les VPN sont bloqués temporairement en Chine. Sans eux, impossible pour les citoyens et habitants d’accéder aux applications citées plus haut. En outre, cela concerne également tous les sites étrangers. Quoi qu’il en soit, l’utilisation d’un VPN en Chine est interdit, et cela risque bien de durer.
Internet shutdown tracker : l’outil de Surfshark pour déceler les pays qui appliquent la censure
Surfshark est l’un des fournisseurs majeurs du marché et s’avère être un VPN pour la Chine idéal en temps normal. D’ailleurs, le VPN fait partie de ceux qui tentent le plus de lutter contre la censure.
De fait, Surfshark a créé un outil dédié à la censure. Nommé « Internet shutdown tracker », il permet de mettre en exergue les pays qui pratiquent la censure. Comme l’atteste la carte, de nombreux pays d’Afrique, d’Asie et d’Amérique du Sud perturbent l’accès aux réseaux sociaux afin de limiter les échanges. Un bon moyen de faire taire les opposants en période politique.
À l’heure actuelle, on y retrouve notamment la Russie, l’Inde, l’Indonésie, la Colombie ou encore l’Algérie. Pour ce qui est de la Chine, l’outil a enregistré quatre perturbations depuis 2015. Toutefois, le pays ne se classe qu’à la 13ᵉ place des pays d’Asie avec le plus de perturbations.
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